longueur ouvert 18,8 cm - longueur fermé 11,4 cm - poids 124 g - tranchant 7,9 cm - lame en 12C27 de 2,5 mm d'épaisseur - manche en palissandre rouge - ouverture par onglet - blocage de lame par cran forcé - guillochage en forme de cordage
Bonjour et bienvenue sur le blog "Couper au couteau". Mon objectif est de présenter ma collection de couteaux à des passionnés et de décrire les caractéristiques de mes couteaux en présentant quelques photos et vidéos. Mes couteaux sont en majorité des fermants de prix et de qualité variables, ils ne reflètent que mes propres choix et se font d'une part au coup de coeur et d'autre part par la technique, soit une ouverture spécifique, un blocage de lame hors du commun, une forme particulière
samedi 31 décembre 2016
samedi 24 décembre 2016
BENCHMARK ROLOX
longueur ouvert 16,4 cm - longueur fermé 9,9 cm - poids 117 g - tranchant 6,4 cm - lame de 3 mm d'épaisseur - manche en cocobolo - ouverture par système rolox lame coulissante - blocage de lame par pompe lock front - étui en cuir
dimanche 18 décembre 2016
BUCK PARADIGM
longueur ouvert 19,1 cm - longueur fermé 10,9 cm - poids 131 g - tranchant 7,9 cm - lame en acier 13C26 de 2,9 mm d'épaisseur - manche en micarta noir - ouverture assistée ASAP en 2 temps, déblocage de la lame par bascule de la mitre suivie du flip - fermeture manuelle par déverrouillage de la mitre basculante - clip
samedi 3 décembre 2016
LE FIDELIS DES ATELIERS L'ÂME DU CAUSSE - COUTELLERIE DU LARZAC - JOËL CANITROT
Le Fidélis est né de l’envie de rendre hommage au Larzac Médiéval, à ses vieux villages, ses troglodytes, ses commanderies, ses légendes templières ; il symbolise la rudesse de cette terre, la rusticité de sa végétation et de son climat, mais aussi la noblesse de ces Femmes et de ces Hommes qui l’ont à tour de rôle, travaillée, façonnée, gardée, toujours protégée, et qui au final ont donné à cet écrin ... une âme à part; Fabriqué à Millau, au coeur de l'Aveyron, dans les ateliers de coutellerie L'âme du Causse ; sa lame est dite en feuille de sauge
longueur ouvert 19,5 cm - longueur fermé 11,2 cm - poids 57 g - tranchant 8 cm - lame en XC75 brut de forge de 2,3 mm d'épaisseur - manche en bois de rose - ouverture manuelle - blocage de lame par cran d'arrêt sur ressort à palme
devise templière en français : Non pas à nous Seigneur, non pas à nous, mais à ton Nom, donne la gloire.
devise templière en français : Non pas à nous Seigneur, non pas à nous, mais à ton Nom, donne la gloire.
historique de Joël Canitrot : An de grâce 1190 ... Quelque part dans une Commanderie sur le Causse du Larzac à
quelques lieues de Millau. Après
avoir prononce ses vœux et promesses, un jeune Chevalier vient d’être reçu
dans l’Ordre des Templiers. Dans
son matériel militaire, outre les trois chevaux fournis par l’Ordre, le Chevalier
se devait de posséder un équipement complet de protection (écu, heaume, cotte de
mailles) ainsi que des armes. Parmi celles si on retrouvait une épée à double
tranchant, une lance et une masse d’arme. Comme
tous les Frères il possédait également 3 couteaux, un couteau de combat, un
couteau dit de pain taille (qui servait à table) ainsi qu’un couteau pliant
(Kenivet).
Avec le « Fidélis » j’ai essayé de retrouver « l’âme »
de ce couteau pliant à travers son apparente simplicité, sa rusticité, son
élégance et sa fiabilité. C’est pour moi le couteau idéal pour remplir toutes les
tâches. Il
faut savoir que le couteau au moyen âge, qu’il soit pliant ou droit n’était pas
qu’un outil, sa rareté en faisait un objet précieux, presque un bijou. Il était
entretenu avec grand soin. Il pouvait déterminer à lui seul le statut social de
son propriétaire. Certains religieux changeaient même la couleur des manches
des couteaux pour les adapter aux périodes liturgiques (noir pendant le Carême,
blanc à Pâques par exemple), d’autres faisaient même graver les paroles du
bénédicité sur la lame. Il était d’usage de le porter toujours sur soi, bien
protégé dans un étui en cuir. Contrairement
aux couteaux droits qui étaient souvent dévolus à une seule tâche (pour couper
le pain, pour trancher ou désosser), le couteau pliant, lui, devait savoir tout
faire. Alors,
à travers le « Fidélis », je n’ai évidemment pas essayé de recréer « le couteau
des Templiers », cela est impossible, il y a eu autant de couteaux qu’il y a eu
de Templiers; j’ai juste voulu créer le couteau de ce Templier, celui de mon
imagination, celui qui prononçant ses vœux un jour de l’an de grâce 1191 promis
d’escorter les Pèlerins en Terre Sainte en me disant que c’est ce couteau là,
que j’aurai aimé qu’il m’offrit en héritage.
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